Je vais être honnête avec toi.

J’ai longtemps eu de la difficulté à décrocher pour vrai. Même quand je partais en vacances, mon téléphone n’était jamais bien loin. Juste un petit courriel vite vite. Juste un appel, une pensée, un rappel dans mon agenda…

Mais il y a quelques années, j’ai décidé de faire un vrai test : partir sans ma casquette de coach, d’ex-dirigeant, de gars toujours « on ». Juste partir. Pour de vrai. Et là, je te parle pas de vacances où on reste branché en douce, je te parle de déconnexion complète.

Au début, c’est confrontant.

Quand tu fermes ton cellulaire pour vrai, que tu enlèves les notifications, que tu coupes l’accès à ta boîte courriel, il y a un vide. Un vrai. Tu ne sais plus quoi faire de ta tête, ni de tes mains.

Et pourtant, c’est dans ce vide que j’ai retrouvé quelque chose de précieux.

Le calme.

Le calme, c’est pas juste bon pour l’âme — c’est stratégique.

C’est dans ce vide que mon cerveau s’est remis à créer, à rêver, à réorganiser ce qui avait besoin de l’être. Pas dans le rush du quotidien, pas entre deux appels Teams. Non. Dans le silence, le repos, la nature.
C’est là que m’est venue l’idée d’un nouveau projet. D’un ajustement important dans mon approche. D’une meilleure façon d’accompagner mes clients.

Et tu sais quoi ? Ce genre de clarté-là, je l’ai rarement eue en mode “productivité à fond”.

Le repos n’est pas une récompense. C’est une nécessité.

On sous-estime à quel point le corps et l’esprit ont besoin de ralentir. Je le vois chez les dirigeants que j’accompagne : ils tiennent le fort, mais à quel prix ? Trop souvent, on attend les signes d’épuisement pour se dire qu’on aurait peut-être dû lever le pied.

Mais il ne faut pas attendre que le réservoir soit vide pour faire le plein.

Quand je suis revenu de ces vacances-là, j’étais transformé :

• Plus motivé,

• Plus créatif,

• Plus mobilisateur pour mon équipe,

• Plus centré sur l’essentiel,

• Et franchement… plus agréable à côtoyer.

Même mes clients l’ont senti.

Prendre soin de soi, c’est aussi prendre soin de son équipe.

En tant que gestionnaire, notre niveau d’énergie influence celui de tout notre entourage. Si tu es fatigué, ton équipe le sent. Si tu es inspiré, elle l’est aussi.

En m’offrant une vraie pause, j’ai permis à mon cerveau de se réinitialiser, à mes émotions de se déposer, à mes idées de respirer. Et c’est ce qui m’a permis d’être meilleur à mon retour. Pas juste plus performant. Plus humain aussi.

👉 Si tu lis ça et que tu n’as pas encore prévu de vraies vacances… c’est peut-être le moment.
Pas pour fuir.
Mais pour revenir encore plus solide, plus vivant, plus aligné.

Et si tu ressens le besoin d’en parler, d’échanger sur comment retrouver de l’équilibre et du leadership dans ton quotidien, je suis toujours partant pour une discussion. Tu sais où me trouver.

À bientôt,
Nicolas